30 avril 2008
14 avril 2008
John Th. B
Il faut que je vous parle de quelqu'un.
Quelqu'un de sombre, mais c'est parce que ses lumières sont toujours aveuglantes... Ses lumières sont des cris, et son trait rapide, sanguin, qui flirte avec l'esquisse, comme pour se tenir au plus près de l'émotion fugace.
John Th. B parle d'introspection, d'apocalypse, et de mal être, parfois, mais aussi de cinéma, des artistes qui sont ses pères, il peint d'une affolante vigueur qui respire l'espoir ... et parfois, la beauté pure.
à lire, dans l'ordre pas forcément, mais avec la musique, surtout.
The Quiet Room
Quelqu'un de sombre, mais c'est parce que ses lumières sont toujours aveuglantes... Ses lumières sont des cris, et son trait rapide, sanguin, qui flirte avec l'esquisse, comme pour se tenir au plus près de l'émotion fugace.
John Th. B parle d'introspection, d'apocalypse, et de mal être, parfois, mais aussi de cinéma, des artistes qui sont ses pères, il peint d'une affolante vigueur qui respire l'espoir ... et parfois, la beauté pure.
à lire, dans l'ordre pas forcément, mais avec la musique, surtout.
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