30 octobre 2007

À parler de mots de trousse...

De l'envol des oies parmi les tours du château bleu. De la profonde mort autour des nids d'oiseaux. Des dents blanches d'un loup contre la peau d'un enfant, nous ne connaissons, ma mère, que la triste semblance. le sublime éteint, la couleur en moins.
Des cous tordus vers le sommeil, des lumières folles d'un rêve de fille, des cris arc-en-ciel qui habillent la nuit, nous ne connaissons, ma tendre que la maigre apparence, l'existence tremblante, et la précaire fin.

----------- il y a quelque chose de triste là dedans, je mets du papier froissé partout, peut être que je suis un peu froissée, aussi à ma façon. l'impression comme d'habitude de faire des moulinets dans la mélasse, tout me met en rogne, "i'm feeling suspicious" dit mon émoticone de bureau si j'arrêtais de regarder l'horizon pour voir où je met les pieds ?
Que faire de ce blog ?

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